Comment s’organise la journée d’un agent immobilier ?
Un agent immobilier est motivé par une mission principale : vendre des biens immobiliers à des particuliers tout comme aux professionnels. A cette mission, d’ajoutent d’autres tâches qui constituent son quotidien : voici un aperçu d’une journée type de la profession.
1) Une organisation de rigueur
Lorsqu’il arrive à l’agence, l’agent immobilier commence généralement sa journée par la consultation des annonces publiées sur Internet ou dans les magazines spécialisées. Il doit se tenir informé des ventes et des opportunités qui se présentent dans son secteur et pouvoir être apte à fournir des informations à ses clients potentiels.
Dans la lecture des annonces, il doit contacter les vendeurs ou les loueurs pour les convaincre de confier la vente de leur bien à un spécialiste. C’est un aspect commercial qui s’apparente à la négociation : il doit vanter les avantages à passer par une agence immobilière, tout en négociaient la part de commission auquel cas il réussit à vendre le bien.
Parallèlement, un agent immobilier doit réaliser un travail de veille : se tenir informé des fluctuations sur les prix des marchés, des prix à venir selon les transformations économiques de la région et du secteur concerné.
2) Une présence sur le terrain
Une fois la tâche des annonces effectuée, l’agent immobilier se rend sur le « terrain » : il s’emploie à mener des visites pour les futurs clients potentiels en quête d’une location ou d’un achat.
Il doit connaître les spécificités de chacun des biens qu’il fait visiter pour pouvoir répondre à toutes les questions, parfois très pointues, de la part des visiteurs. Par exemple, la consommation énergétique, l’ambiance du quartier, la proximité des commerces, la logistique des transports en commun, la date des derniers travaux de plomberie, d’électricité, etc.
Si une visite est positive, il doit mettre en oeuvre ses talents de négociateur car son salaire en dépend (partie variable avec les commissions). Il faut envisager l’agent immobilier comme un « tampon » entre le vendeur et le client.